L’année du coefficient d’occupation

L’année 2013 s’est terminée sur bonne note pour Air Canada — et ce n’est pas étonnant. L’entreprise a enregistré un coefficient d’occupation record (pourcentage de sièges vendus), non seulement pour le mois de décembre, mais également pour l’année complète.  Le président et directeur général Calvin Rovinescu — nommé meilleur dirigeant canadien de l’année par le Globe and Mail souligne que le succès d’AC est dû à l’augmentation du trafic transfrontalier, aux aptitudes de l’entreprise qui sont très disciplinées en matière de gestion et à la qualité de ses employés.

 

Tout va pour le mieux chez Air Canada, mais qu’est-ce que cela signifie pour vous, les voyageurs?

 

« Plus les résultats financiers d’Air Canada sont importants, plus l’entreprise sera en mesure d’améliorer ses services », mentionne Joel Ostrov, président de Vision Voyages, qui croit que le succès de l’entreprise peut également être attribué à l’excellent leadership de M. Rovinescu et au prix du carburant plus stable — qui constitue généralement le deuxième coût le plus important pour un transporteur.

 

Michael Broadhurst, vice-président à la direction de Vision Voyages, affirme que le succès du transporteur se poursuivra. « Les voyageurs continueront à encourager Air Canada tant que l’entreprise maintiendra son niveau de service et son attitude axée sur le client, ce qui constitue selon moi une excellente gestion. »

 

Vision Voyages est membre du prestigieux Cercle d’excellence d’Air Canada, qui reconnaît les agences de voyages les plus influentes au pays.  Moins d’un pour cent des agences canadiennes font partie de ce Cercle d’excellence.

 

L’important coefficient d’occupation n’est pas la seule raison de se réjouir du fait qu’Air Canada soit un partenaire clé de Vision Voyages. En effet, l’entreprise a également reçu le prix de la meilleure compagnie aérienne en Amérique du Nord pour la quatrième année consécutive.  Ce succès est sans doute dû à la flotte moderne de plus de 350 aéronefs — dont 10 sont dédiés à la nouvelle branche novatrice rouge, ainsi qu’au projet d’ajouter de nouveaux appareils Boeing 787. Comme Broadhurst le souligne : « Il ne faut pas sous-estimer leur réputation par rapport à celle de leurs compétiteurs. »